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Dossier : Maîtriser toutes les bases du trading.
La gestion du risque.
Les chandeliers japonais.
La supply & demand zone.
La tendance.
Les supports et résistances.
Les configuration graphiques.
Les structures de marché.
La liquidité.
Le Swing Failure Pattern.
Pour aller plus loin : 3 ressources gratuites pour investir & trader.
A) La gestion du risque.
Quelle que soit la qualité de votre stratégie de trading, votre taux de réussite ne sera jamais de 100 %.
Le résultat de chaque trade doit être soit un gros gain, soit un petit gain soit une petite perte, mais jamais une grosse perte.
C'est là que la gestion des risques entre en jeu.
Vous devez l'étudier attentivement et l'appliquer à votre système de trading si vous voulez obtenir des résultats pérennes.
Combien risquer par trade ?
Si vous voulez être un trader et non un parieur, votre priorité N°1 est de protéger votre capital.
C'est pourquoi vous devez tenir compte du risque que vous prenez lorsque vous tradez.
Le risque par trade est la part de votre capital que vous êtes prêt à perdre sur une seule transaction.
Chaque trader a un appétit différent pour le risque donc il existe différentes opinions sur le montant de risque approprié (entre 1% et 5% max du capital total).
Disons que vous décidez d'avoir un risque fixe de 1% du solde de votre compte sur une seule transaction.
Dans cet exemple, si vous perdez 20 trades consécutifs, vous disposez toujours d'environ 80 % de votre capital.
Le fait d'avoir un pourcentage de risque fixe est avantageux en raison de la puissance de la capitalisation et de la capitalisation inversée : lors d'une série de pertes, vos pertes (en dollars) sont de plus en plus faibles et lors d'une série de gains, vos gains (en dollars) sont de plus en plus élevés.
Il est important de comprendre que le fait de risquer, par exemple, 1% sur une seule transaction ne signifie pas que la taille de votre position représente 1% de votre capital mais que si votre stop-loss est atteint alors vous perdrez 1% du solde de votre compte.
Montant à risque = Capital total ($) * Risque par trade (%).
Par exemple, votre capital est de 10.000 $ et vous décidez que votre risque par transaction sera de 1 % (10.000 $ * 0,01% = 100$). Donc vous ne risquerez que 100 $ par transaction.
Calculer son Risk : Reward.
Le ratio Risk : Reward représente le rapport entre le risque que vous prenez et le rendement attendu (comparaison entre le bénéfice potentiel d'un trade et sa perte potentielle).
Le R:R peut être calculé en utilisant l'option "Position long" ou "Position short" dans Tradingview ou manuellement avec les formules suivantes :
LONG = (prix d’entrée - prix du stop loss) / (take profit - prix d’entrée).
SHORT = (prix du stop loss - prix d’entrée) / (prix d’entrée - take profit).
Rappel de la sémantique :
Long : trader sur la hausse (acheter bas puis revendre haut).
Short : trader sur la baisse (vendre haut puis racheter bas).
Stop-loss : ordre pour couper ses pertes et protéger son capital.
Take profit : ordre pour encaisser ses bénéfices.
Pour simplifier, si vous avez un ratio R:R de 1:2, cela signifie que vous risquez 1 pour gagner potentiellement 2.
Si vous avez un R:R de 1:4, cela signifie que vous risquez 1 pour gagner potentiellement 4.
Par exemple, si l’ETH vaut 1.700 $ et que vous souhaitez ouvrir un trade avec un take profit à 1.730 $ et un stop loss à 1.690 $, alors le rapport R:R est ici de 1:3 (10 $ / 30 $), autrement dit vous risquez 10$ (distance au stop loss) pour gagner 30$ (distance au take profit).
Vous devez rechercher des trades où le gain est supérieur au risque.
Si le ratio R:R est inférieur à 1:1 (par exemple 1:0,7), votre risque potentiel est supérieur au gain potentiel.
Si le rapport R:R est supérieur à 1:1 (par exemple, 1:2), le gain potentiel est supérieur au risque potentiel.
Connaître son Win rate (taux de réussite).
Le win rate représente le ratio entre vos trades gagnants et perdants : il indique combien de transactions vous gagnez sur l'ensemble de vos transactions.
Win rate = nombre de trades gagnants / nombre total de trades.
Par exemple, vous effectuez 25 trades dont 14 sont gagnants et 11 sont perdantes : votre win rate est de 56% (14 / 25 = 0,56).
Il est important de comprendre que le win rate seul ne signifie pas grand-chose.
Vous pouvez avoir un WR élevé, mais si vos pertes sont plus importantes en valeur que vos gains, vous n'êtes toujours pas rentable.
C'est pourquoi vous devez tenir compte à la fois du WR et du R:R.
Un win rate plus élevé signifie que votre R:R peut être plus faible et un win rate plus faible exige que votre R:R soit plus élevé.
De nombreux traders professionnels ont un système de trading avec un win rate de 40% qui ne nécessite qu'un R:R supérieur à 1:1,6 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 25%, vous avez besoin d'un R:R de 1:3 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 33 %, vous avez besoin d'un R:R de 1:2 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 40%, vous avez besoin d'un R:R de 1:1,5 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 50 %, vous avez besoin d'un R:R de 1:1 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 60 %, vous avez besoin d'un R:R de 1:0,7 pour être rentable.
Si vous avez un win rate de 75%, vous avez besoin d'un R:R de 1:0,3 pour être rentable.
Par exemple, si votre win rate est de 33%, alors choisissez toujours un trade avec un R:R supérieur à 2.
Ainsi, même si vous avez raison 1 fois sur 3, vous serez rentable : vous perdez peu 2 fois sur 3 et gagnez beaucoup 1 fois sur 3 (suffisamment pour couvrir les deux pertes précédentes).
Le calcul suivant vous dira quel est le R:R minimum requis pour atteindre le seuil de rentabilité en fonction de votre win rate (ce qui signifie que vous devez obtenir un R:R légèrement meilleur que le résultat pour être rentable) :
R:R pour être au seuil de rentabilité = (1-win rate) / win rate.
Par exemple, si votre win rate est de 60% (0,6), alors vous devez avoir un R:R d'environ 1:0,66 ou mieux si vous voulez être rentable (R:R = (1-0.6) / 0.6 = 0.66).
Le prochain calcul vous indiquera le win rate minimum requis pour atteindre le seuil de rentabilité basé sur votre ratio R:R (ce qui signifie que vous devez obtenir un win rate légèrement supérieur au résultat pour être rentable) :
Win rate pour être au seuil de rentabilité = 1 / (1 + R:R).
Par exemple, si votre R:R est de 1:2,5 alors vous devez avoir un win rate d’environ 28.6% pour être rentable sur la durée (WR = 1 / (1 + 2,5) = 28.6%).
Connaître l’espérance de vie de son système de trading.
Le calcul de l'espérance vous permettra de savoir si votre système de trading est rentable ou non, en fonction de la taille des gains, des pertes et du rendement attendu par trade.
Si le nombre est positif, votre stratégie est rentable et si le nombre est négatif votre stratégie n'est pas rentable (le résultat indique également la moyenne des pertes et des profits par transaction) :
Espérance = (Win Rate * Moyenne gains) - (Loss Rate * Moyenne pertes).
Par exemple, si votre win rate est de 60%, votre loss rate (taux de perte) est de 40%, la taille moyenne de vos gains est de 600 $ et la taille moyenne de vos pertes est de 250 $, alors votre espérance est de 260 (Espérance = (0,6 x 600 $) - (0,4 x 250 $) = 260).
Dans cet exemple, votre stratégie est rentable puisque le résultat est positif :
On s'attend à ce que vous gagniez 6 transactions sur 10, ce qui se traduit par des gains de 3.600 $ (6 x 600 $).
Vous devriez également perdre 4 transactions sur 10, soit une perte de 1.000 $.
Ainsi, après 10 opérations, vous devriez gagner 2.600 $ (3 600 $ - 1 000 $), soit en moyenne +260 $ par opération (2 600 $ / 10 opérations).
Déterminer la taille de la position.
Choisir une taille de position correcte est probablement la chose la plus importante lorsqu'il s'agit de gérer votre risque.
Plus la distance jusqu'au stop loss est faible, plus la taille de la position que vous pouvez trader est grande tout en gardant le même niveau de risque.
Taille de la position = Montant risqué / Distance jusqu’au stop-loss.
Exemple :
Paire : BTC/USD
Capital total : 10.000$
Risque par trade : 1%
Prix d’entrée : 20.000$
Stop-loss : 19.530$
Montant risqué : 100$ (1% de 10.000$).
Distance jusqu’au stop-loss : 2.35% (prix d’entrée - prix du stop loss) / (prix d’entrée *100)
Avec ces données, calculons la taille de la position :
Taille de la position = 100$ / 2.35% = 4.255$.
Le résultat indique que nous pouvons ouvrir une position d'une taille de 4.255$ pour ne perdre que 100$ (montant risqué) au cas où notre stop-loss serait atteint.
Placer son Stop-Loss et son Take-Profit.
Votre décision d'ouvrir un trade doit être fondée sur un ensemble de règles qui, si elles sont respectées, vous donnent une idée de la direction que pourrait prendre le prix (take-profit) et de l'endroit où le scénario prévu est invalidé (stop loss).
Les stop-loss sont utilisés pour mettre fin à nos positions afin de limiter la perte et éviter d’exploser notre compte.
Avoir une distance fixe pour le stop loss, par exemple 5% sous le prix d’entrée, n'a pas beaucoup de sens car on perd la flexibilité nécessaire à notre système de trading.
Le stop-loss doit toujours être positionné au niveau d’invalidation du scénario le plus probable (au-dessus/en dessous de niveaux évidents tels que les moyennes mobiles, les points d'oscillation, les niveaux de support/résistance, les Swing Point etc).
Si vous restez devant l’écran pendant votre trade, identifiez la zone d’invalidation où placer votre stop-loss mais n’entrez pas l’ordre car sinon il apparaîtra dans le carnet d’ordres et vous pourriez vous faire liquider lors d’une chasse aux stops juste avant que le prix aille dans la direction que vous aviez anticipée.
Dans ce cas là, il est préférable d’ajouter son ordre stop manuellement lorsque le niveau d’invalidation est atteint.
Il n'y a pas non plus de règle magique concernant l'endroit où prendre des bénéfices, car tout dépend de votre analyse et de votre stratégie.
Avoir un objectif fixe en pourcentage n'a pas beaucoup de sens non plus pour les raisons mentionnées au-dessus.
Au contraire, vos objectifs doivent être relatifs à votre risque et positionnés à des zones de confluences de plusieurs indicateurs comme les zones Support/Résistance, les niveaux de Fibonacci, les zones Supply/Demand, les ruptures de niveaux de structure, les points de swing précédents etc.
Vous avez donc besoin d'un système de trading prédéfini, backtesté et multi-scénario :
Prédéfini signifie que votre système vous dit quand entrer et quand sortir d’un trade.
Backtesté signifie que vos méthodes de trading doivent être éprouvées sur une longue période pour attester de son efficacité. Les traders du marché traditionnel backtestent des stratégies depuis au moins une décennie. Les traders CRYPTO, par manque de données, doivent au moins faire des backtests pendant 3 ans. Ce n'est que si votre système donne constamment une entrée à haute probabilité de réussite qu'il vaut la peine d'être considéré.
Multi-scénario signifie qu’aucun trade n’est une science exacte donc il faut appréhender tous les scénarios possibles et trader les plus probables selon votre système de trading.
Sans système, ne tradez pas.
B) Les chandeliers japonais.
Les bougies, appelées également chandeliers japonais, donnent énormément d’informations utiles pour comprendre les enjeux du marché.
Avant d’utiliser des indicateurs, il faut comprendre pourquoi le prix fluctue et où se situent les zones d’intérêts des acheteurs et des vendeurs et ces deux points sont identifiables à travers la lecture et l’interprétation des chandeliers japonais.
Un chandelier japonais est constitué de 2 éléments : un corps et une mèche.
Explications de la bougie verte du graphique :
Une bougie verte traduit un mouvement haussier.
Si le graphique est en échelle de temps 1h, la bougie représente une période d’une 1h (idem pour les autres échelles de temps).
Donc, le prix d’ouverture correspond au prix de l’actif au début de l’heure tandis que le prix de fermeture correspond au prix de l’actif à la fin de l’heure.
Dans cet exemple, le prix a effectivement augmenté sur cette période car le prix d’ouverture est plus bas que le prix de fermeture.
La mèche indique jusqu’où le cours est descendu et monté pendant la période.
Sur cet exemple, le cours est descendu plus bas que le prix d’ouverture avant de remonter fortement puis a baissé légèrement avant la fermeture.
Explications de la bougie rouge du graphique :
Une bougie rouge traduit un mouvement baissier.
Dans cet exemple, le prix a baissé car le prix d’ouverture est plus haut que le prix de fermeture.
La mèche indique jusqu’où le cours est descendu et monté pendant la période.
Sur cet exemple, le cours est monté plus haut que le prix d’ouverture avant de baisser fortement puis est remonté légèrement avant la fermeture.
Principales configurations de bougies à connaître.
Le marteau apparaît principalement lors d’un mouvement baissier au niveau d’un support et indique un potentiel retournement haussier.
Le marteau inversé apparaît principalement lors d’un mouvement haussier au niveau d’une résistance et indique un potentiel retournement baissier.
Un avalement haussier se forme dans un mouvement baissier et est constitué de 2 bougies dont la première est baissière et la seconde est haussière et englobe complètement la bougie précédente en clôturant au-dessus du cours d’ouverture précédent.
Un avalement baissier se forme dans un mouvement haussier et est constitué de 2 bougies dont la première est haussière et la seconde est baissière et englobe complètement la bougie précédente en clôturant en dessus du cours d’ouverture précédent.
Un morning star est une configuration de retournement haussier créée lors d’un mouvement baissier avec 3 bougies : la première est baissière, la seconde marque une indécision avec un petit corps et la troisième englobe entièrement la seconde.
Un evening star est une configuration de retournement baissier créée lors d’un mouvement haussier avec 3 bougies : la première est haussière, la seconde marque une indécision avec un petit corps et la troisième englobe entièrement la seconde.
Les 3 soldats blancs représentent un pattern de retournement haussier constitué de 3 bougies haussières successives avec quasiment aucune mèche.
Les 3 soldats noirs représentent un pattern de retournement baissier constitué de 3 bougies baissières successives avec quasiment aucune mèche.
Un bullish harami est un pattern de retournement haussier composé de 2 bougies dont la première est très baissière et la seconde demeure haussière et clôture à 50% de la bougie précédente.
Un bearish harami est un pattern de retournement baissier composé de 2 bougies dont la première est très haussière et la seconde demeure baissière et clôture à 50% de la bougie précédente.
L’inverted hanging man est une bougie verte qui se forme généralement au niveau d’un support avec une longue mèche au-dessus de son petit corps signe que les vendeurs n’ont pas réussi à pousser le prix sous son cours d’ouverture parce qu’ils sont épuisés (il reste peu ou plus de vendeurs).
Le hanging man est une bougie rouge qui se forme généralement au niveau d’une résistance avec une longue mèche en dessus de son petit corps signe que les acheteurs n’ont pas réussi à pousser le prix sous son cours d’ouverture parce qu’ils sont épuisés (il reste peu ou plus d’acheteurs).
Le spinning top est une figure d’indécision dans le marché, néanmoins lorsqu’elle se forme à l’extrémité d’un mouvement, elle symbolise un retournement de marché (qu’importe la couleur de la bougie) :
Un spinning top au sommet d’un mouvement haussier traduit un potentiel retournement baissier.
Un spinning top au bas d’un mouvement baissier traduit un potentiel retournement haussier.
C) La supply & demand Zone.
La “Supply” zone est une zone de prix où les vendeurs blindent les ordres de ventes pour absorber les ordres d’achat et repousser le prix vers le bas et empêcher les acheteurs de faire monter les cours.
La “Demand” zone est une zone de prix où les acheteurs blindent les ordres d’achats pour pour absorber les ordres de vente et maintenir le prix au-dessus de ce seuil.
Identifier ces 2 zones permet de comprendre les intérêts des deux camps pour prendre des positions acheteuses/vendeuses au bon endroit et au bon moment :
Les bougies avec de longues mèches au-dessus de leur corps indiquent une Supply zone car la montée des cours a été complètement absorbée par les ordres des vendeurs qui étaient plus nombreux que les acheteurs.
Les bougies avec de longues mèches en dessous de leur corps indiquent une Demand zone car la baisse des cours a été complètement absorbée par les ordres des acheteurs qui étaient plus nombreux que les vendeurs.
Dans cet exemple, le prix se contracte dans un petit range borné en haut par les vendeurs et en bas par les acheteurs.
Cette contraction de la volatilité traduit un futur mouvement significatif dans un sens ou dans l’autre.
Avec une lecture approfondie des chandeliers, on peut diagnostiquer en amont que la probabilité de cassure haussière est plus élevée que l’inverse car la Supply zone a été testée 8 fois contre 3 fois pour la Demand zone.
Autrement dit, à chaque fois que la Supply zone a été touchée, les ordres des vendeurs étaient atteints jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus car plus un niveau est touché, plus les ordres qui y sont placés sont exécutés et plus ce niveau devient faible et fragile.
La cassure de la Supply zone fait suite à l’épuisement des vendeurs et s’est accompagnée d’une hausse conséquente du volume et même d’un retest offrant deux confirmations pour entrée un long à haute probabilité de réussite.
D) La tendance.
La tendance est la direction que suit le marché sur une période donnée.
Il existe 3 types de tendances :
Haussière : caractérisée par des points hauts de plus en plus hauts et des points bas de plus en plus hauts.
Baissière : caractérisée par des points hauts de plus en plus bas et des points bas de plus en plus bas.
Neutre : caractérisée par des points hauts de mêmes niveaux et des points bas de mêmes niveaux.
Identifier la tendance permet de savoir dans quel sens trader car on trade toujours dans le sens du marché et jamais à contre-tendance.
Dans un marché haussier : on achète bas et revend haut (=LONG).
Dans un marché baissier : on vend haut et achète bas (=SHORT).
Dans un marché neutre : On fait un mixte des deux, c’est-à-dire LONG en bas du canal et revendre en haut puis, SHORT du haut du canal jusqu’au bas du canal.
Un trader peut donc gagner de l’argent quelque soit le sens du marché.
E) Les supports et résistances.
Une résistance est une zone de prix défendue par les vendeurs qui fait barrage à la montée du prix au-dessus de ce seuil.
Un support est une zone de prix défendue par les acheteurs qui maintient le prix au-dessus de ce seuil.
En d’autres termes, une résistance à tendance à repousser le prix tandis que le support le maintient.
Les supports et les résistances peuvent être horizontaux ou obliques et plus ils touchés par le prix, plus ils faiblissent et la probabilité qu’ils cassent augmente.
Quand une résistance est “cassée” (=les acheteurs étaient plus nombreux que les vendeurs), le prix peut désormais croître jusqu’à la prochaine zone de résistance : cette cassure s’appelle un break-out.
C’est le moment d’acheter bas (après la cassure) et de revendre haut (au niveau de la prochaine résistance).
On achète jamais un break-out, on achète uniquement la confirmation de break-out donnée soit par un volume d’échanges ascendant au niveau du break-out, soit par un retest de la résistance.
Un retest signifie qu’après avoir cassé la résistance le prix va redescendre sur ce niveau pour y rebondir et valider que cette ancienne résistance est devenue un support.
Pourquoi ne pas acheter un break-out sans confirmation ?
Parce qu’il existe des fake-out, c’est-à-dire de fausses cassures, où le prix casse le niveau mais ne parvient pas à le maintenir.
Quand un support est “cassé” (=les vendeurs étaient plus nombreux que les acheteurs), le prix peut désormais décroître jusqu’à la prochaine zone de support : cette cassure s’appelle un break-down.
C’est le moment de shorter en vendant haut (après la cassure) et en rachetant bas (au niveau du prochain support).
Idem, la décision de shorter au niveau d’un break-down se fait uniquement après confirmations : hausse du volume et/ou retest.
De manière analogue, les fausses cassures de support existent pour piéger le maximum de traders possible.
F) Les configurations graphiques.
Les configurations graphiques sont des patterns composés de plusieurs chandeliers qui permettent d’identifier soit un retournement de tendance soit une continuation de tendance.
Retournement : la tendance s’inverse.
Continuation : la tendance actuelle se poursuit.
Il existe 3 configurations majeures de continuation haussière (qui existent en version inversée en tant que configurations de continuation baissière) :
Le drapeau.
La configuration en drapeau se forme en période de consolidation et indique que la tendance haussière actuelle peut se poursuivre dans la même direction que le mouvement initial après le break-out.
Un drapeau haussier suit une hausse presque verticale du prix et se compose de deux lignes de tendance parallèles qui forment un drapeau rectangulaire avec une borne basse comme support et une borne haute comme résistance.
Le Failing Wedge.
Ce pattern est large au sommet et devient plus étroit au fur et à mesure qu'il descend.
Un failing wedge se forme après une hausse rapide du prix et se compose de deux lignes de tendance convergentes dont la résistance (borne haute) subira probablement un break-out où il convient d’attendre un retest ou d’observer une hausse substantielle du volume avant d’entrer un long.
Le Triangle Ascendant.
De même que pour les autres figures, le break-out du triangle ascendant doit s’accompagner d’une hausse du volume et éventuellement d’un retest de la résistance devenue un support pour valider la figure et confirmer l’entrée d’un long.
Il existe 3 configurations majeures de retournement haussier (qui existent en version inversée en tant que configurations de retournement baissier) :
L’épaule-tête-épaule inversée.
L’Épaule-Tête-Épaule inversée se caractérise par deux épaules de tailles semblables avec au centre une tête plus basse que les épaules puis un break-out de la ligne de cou.
La tasse et anse.
La tasse et anse est une configuration de retournement haussière qui se caractérise par une grande tasse suivie d’une petite anse puis un break-out de la anse.
Le double bottom.
Le double bottom est une configuration de retournement haussière qui se caractérise par deux points bas de mêmes niveaux puis un break-out de la ligne de cou.
Voici 3 exemples réels de configurations graphiques.
Épaule-Tête-Épaule : figure de retournement baissier.
Tasse et anse : figure de retournement haussier.
Double bottom et double top et anse : figures de retournement haussier et baissier respectivement.
Attention, ce n’est pas parce qu’une figure graphique connue apparait qu’elle sera nécessairement validée.
Par exemple, un double bottom peut très bien se former mais ne pas casser la ligne de cou donc être invalidé, c’est pourquoi, il est obligatoire d’attendre une validation de la figure avec un break-out/break-down et des confirmations (volume & retest) avant de se positionner à l’achat ou à la vente.
G) Les structures de marché.
Plus l’accès à l’information se démocratise, plus je constate que les bases de l’investissement et du trading sont bafouées au profit d’indicateurs “magiques” qui nous révèlent quand acheter et quand vendre.
Rappelle-toi que si la majorité utilise un même indicateur, il est trivial d’anticiper les actions de la masse en achetant et vendant avant elle.
Par conséquent, une bonne décision d’investissement repose d’une part sur la maîtrise des fondamentaux et d’autre part sur une confluence d’indicateurs dont les analyses convergent vers la même issue.
C’est pourquoi, il convient de comprendre l’essence même des tendances : les structures de marché.
Qu’est-ce qu’une structure de marché ?
Une structure de marché définit la tendance dans laquelle le marché se situe : haussière, baissière et neutre.
Une structure de marché haussière se caractérise par un mouvement du prix qui réalise successivement des points hauts de + en + hauts ainsi que des points bas de + en + hauts.
À chaque fois que le prix casse son précédent point haut pour former un nouveau point haut, c’est ce que j’appelle une cassure de la structure du marché.
De même, une structure de marché baissière se caractérise par un mouvement du prix qui réalise successivement des points hauts de + en + bas ainsi que des points bas de + en + bas.
À chaque fois que le prix casse son précédent point bas pour former un nouveau point bas, c’est aussi une cassure de la structure du marché.
Il est déconseillé de trader contre la tendance primaire.
Donc il faut toujours identifier la structure du marché sur une échelle de temps élevée (Weekly, Daily, 4h) avant de trader sur une échelle de temps inférieure (1h, 15min).
Comment utiliser les structures de marché ?
Après chaque cassure de structure, le marché s’attend à un pullback sur la même échelle de temps (c'est là que la structure de marché est très utile).
Autrement dit, n’ouvre que très rarement une position (long/short) après une cassure, mais attends plutôt le pullback qui joue le rôle de confirmation de cassure :
Lors d’une cassure de structure baissière, “attendre le pullback” signifie attendre le prochain point haut (plus bas que le précédent) pour entrer un short.
Lors d’une cassure de structure haussière, “attendre le pullback” signifie attendre le prochain point bas (plus haut que le précédent) pour entrer un long.
Cet exemple démontre une configuration de trading actionnable entièrement fondée sur la structure du marché.
À l’origine du mouvement, le prix se trouve dans une tendance haussière avec des sommets et des creux de + en + élevés.
Puis, la continuation haussière échoue à cause de l’incapacité d’atteindre un sommet plus élevé (point N°1) ce qui a conduit à une rupture de la structure du marché (point N°2).
La formation d'un nouveau plus bas confirme un changement de tendance baissier où nous attendons un pullback pour placer un short.
Le nouveau sommet, plus bas que le précédent, est identifié (point N°3) et nous donne notre point d’entrée de short et le point d’invalidation au-dessus du dernier point haut où placer notre stop-loss.
Les targets du short sont les derniers points bas identifiés.
À noter : un pullback intervient très régulièrement lors d’une cassure de structure, néanmoins il y a parfois des exceptions où la cassure est franche et aucun pullback ne se formera.
Comment utiliser le changement de caractère (=CC) du marché ?
Le changement de caractère du marché permet d'anticiper le moment où :
une hausse peut être terminée et qu'un pullback peut commencer (=CCBaissier).
un pullback est terminé et qu’une hausse peut commencer (=CCHaussier).
Attention, les changements de caractère ne sont pas systématiquement des signes d’inversion de tendance mais c’est le premier indice d’une faiblesse donc d’un potentiel retournement.
Cette situation est un excellent exemple de l’utilisation avancée des structures de marché.
Après une longue hausse, on aperçoit un changement de caractère baissier (en rouge) qui est cassé annonçant la future cassure de la structure du marché (en blanc).
Cet exemple est aussi une bonne illustration que le pullback n’est pas systématique et que dès lors que des faiblesses sont identifiées autour des niveaux clés, il faut rapidement en conclure qu’il serait trop ambitieux d’attendre un pullback pour entrer en position.
Dans cet exemple, le premier changement de caractère baissier signale que le mouvement haussier est peut-être terminé et qu'un pullback commence.
La cassure du deuxième changement de caractère est un signe haussier indiquant que le pullback pourrait se terminer et qu'une hausse pourrait commencer = entrée du short jusqu’à la cassure de structure de marché.
La même stratégie est utilisée pour le 2e mouvement qui demeure identique.
Donc, retiens que :
Identifie la structure du marché sur des échelles de temps élevées avant de trader sur des échelles inférieures.
Puis marque les zones de changement de caractère anticiper les retournements afin d’entrer tes trades avant la cassure de la structure du marché.
Si tu tardes à entrer en position après la cassure du changement de caractère, patiente jusqu’à la cassure de structure de marché où tu entreras soit sur le pullback soit avant si le prix ne parvient pas à franchir les résistances.
H) La liquidité de marché.
La liquidité est simplement la facilité avec laquelle un actif peut être acheté ou vendu sans que son prix soit affecté.
L'image montre le carnet d’ordres du BTC avec les offres d’achat et de vente : chacun des niveaux représentés ci-dessus correspond à un prix du marché.
Si un marché est liquide, il y aura des offres d'achats et de ventes à chaque niveau de prix.
Dans les marchés très liquides, si les acheteurs/vendeurs veulent acheter/vendre avec un ordre au marché (prix actuel), alors il est très probable que leurs ordres soient exécutés instantanément car il y a suffisamment d’offres à chaque niveau de prix pour absorber ces ordres.
L'inverse est vrai en ce qui concerne les marchés illiquides, car il peut n'y avoir aucune offre d'achat ou de vente à certains niveaux de prix.
Exemple dans un marché liquide :
Le prix du BTC est de 20.001$.
Le trader A possède 1 BTC qu'il veut vendre au prix du marché.
Le trader B veut acheter 1 BTC à 20.000$.
Puisque le trader A veut vendre son BTC immédiatement, son ordre au marché à 20.001$ sera réellement exécuté à 20.000$ car c'est là que B a entré un ordre d’achat de 20.000$.
Ainsi, la différence en % entre le prix attendu par A et le prix auquel la transaction a été conclue (appelée le slippage) est de : (20001-20000)/(20001*100) = 0,005%.
Il s'agit d'un slippage très faible, ce que l'on attend des marchés liquides.
Exemple dans un marché illiquide :
Le prix du BTC est de 20.200$.
Le trader A possède 1 BTC qu'il veut vendre au prix du marché.
Le trader B veut acheter 1 BTC à 20.000$.
L’ordre de vente au marché à 20.200$ du trader A sera exécuté à 20.000$ car il n’y a pas de liquidités suffisantes avant ce niveau de prix.
Ici, le slippage est de 1% ce qui est très élevé car vous utilisez 1% de la valeur juste pour la possibilité de vendre immédiatement.
Pourquoi la liquidité est un concept capital à comprendre ?
La liquidité sera toujours un aimant pour le prix après un déséquilibre important entre les ordres d'achat et de vente sur le marché.
Par conséquent, le prix est constamment à la recherche de ces liquidités pour rééquilibrer le prix à une juste valeur.
Dans cet exemple, la zone de résistance verte se transforme en support.
La plupart des traders sont long (=acheteurs) sur le retest de la zone de support pensant que le prix va augmenter à nouveau donc ils placent leur stop-loss juste en dessous de cette zone.
Le prix balaie leurs ordres stop (ordres de vente), puis remonte.
De même, d’autres traders shortent (= vendent) lorsque le prix passe à nouveau sous le support pensant que le support est perdu.
Le marché balaie alors leurs ordres stop (ordres d'achat) et se déplace dans la direction opposée.
Le marché ira toujours là où il y a le plus de liquidités.
Donc, les ordres stop placés par les traders long et short sont ce que les acteurs ayant des positions importantes (= baleines) recherchent avant d'entrer/sortir du marché pour bénéficier d’un faible slippage.
Le raisonnement est le suivant : si la liquidité du marché est insuffisante, alors le prix évoluera d’abord dans la direction souhaitée par ces baleines.
Exemple :
Si le marché est illiquide et que la baleine veut acheter 1000 BTC à 20.000$ l’unité, les premiers BTC achetés seront proches de 20.000$, mais en raison du slippage, la majorité de son ordre sera exécutée bien plus haut (peut-être 20.200$).
Son prix d’entrée moyen serait alors près de 200$ supérieurs au prix d'achat prévu (ce problème ne se poserait pas dans un marché liquide).
Comment identifier les zones de liquidités ?
Il y a deux structures de marché pour identifier les zones de liquidités : le swing point et les points relativement équivalents.
1. Le Swing Point.
Il y a de la liquidité derrière chaque swing point dans le marché.
Le prix accumule de la liquidité autour du Swing Point précédent.
Les traders qui shortent le marché avec leur stop au-dessus du dernier Swing Point verront leur stop loss touché avant que le marché n'aille dans leur sens.
De même, les traders de breakout qui visent à être long dès qu’une résistance est cassée, verront également leur stop loss atteint.
Dans cet exemple, la clé est d'aller sur une échelle de temps inférieure pour confirmer le balayage avant de shorter le marché lors du repli.
Sur ce même exemple en échelle de temps réduite à 15min, on note effectivement le Swing Point qui marque une zone de résistance qui peut soit se transformer en support (si on passe au-dessus) soit en zone de balayage des stop (si on reste en dessous).
Néanmoins, on note une bougie rouge qui tente de dépasser cette zone et qui clôture en dessous.
Il suffit maintenant d’attendre la confirmation avec un retest de la zone pour entrer en short.
Cette stratégie d’accumulation de liquidités s’applique dans les deux sens du marché (il suffit de retourner le précédent graphique pour avoir l’exemple inverse).
2. Les points relativement équivalents.
Il y a de la liquidité derrière chaque point relativement équivalent.
C’est un exemple de balayage de la liquidité après que le prix ait formé des sommets relativement égaux.
La bougie de balayage vient déclencher tous les autres stop de ceux qui shortaient les points hauts précédents ainsi que les autres stop de ceux qui venaient d’acheter pensant que les cours iraient plus haut.
De même que l’exemple avec le Swing Point, avant de prendre une position sur cette configuration on zoome en échelle de temps inférieure pour identifier clairement la bougie de balayage puis la confirmation baissière.
Cette stratégie d’accumulation de liquidités s’applique également dans les deux sens du marché (il suffit de retourner le précédent graphique pour avoir l’exemple inverse).
I) Le Swing Failure Pattern.
Le Swing Failure Pattern est une configuration graphique de renversement de tendance qui s’applique aux deux sens du marché.
Cette stratégie repose essentiellement sur le principe de “liquidité” vu précedemment.
Pourquoi la liquidité est importante pour les traders ?
Pour exécuter des ordres d'achat d’une taille importante à un prix convenable, il faut un rapport de 1:1 (ou aussi proche que possible) entre l’ordre d'achat et les ordres de vente sur le marché (l’inverse est vrai pour exécuter de lourds ordres de ventes).
Si l’écart entre l’ordre d’achat et les ordres de vente les plus proches du prix demandé est trop élevé, l’ordre d’achat sera exécuté à un prix bien plus éloigné que celui voulu car il n’y aura pas assez de densité d’ordres vendeurs pour absorber la totalité de l’ordre acheteur : c’est le principe de liquidité.
Il est également important de noter que les stop-loss sur les positions long sont en réalité des ordres de vente et que les stop-loss pour les positions short sont des ordres d'achat.
Exemple :
Le prix casse la résistance et s’établit au-dessus donc l’ancienne résistance est désormais un support.
À cet instant, la plupart des traders sont longs et placent leur stop-loss en dessous de ce support (parce que la perte du support signifierait une tendance baissière).
Ensuite, le prix passe à nouveau sous le support déclenchant les ordres stop des acheteurs et ces mêmes traders prennent désormais une position short (considérant que le support est perdu) avant la clôture de la bougie.
La marché se dirige toujours là où la liquidité s’accumule le plus.
En d’autres termes, les ordres stop sur les positions longs et short sont une injection de liquidités importantes dont les gros acheteurs ont besoin pour acheter/vendre.
Dans l’exemple précédent, lorsque le prix passe sous le support mais ne clôture pas en dessous, c’est un signe que la pression vendeuse est absorbée par des ordres d'achat importants : on appelle ça un "balayage" du niveau.
Quel est le lien entre liquidité et le Swing Failure Pattern ?
Le Swing Failure Pattern se forme toujours au niveau d’un point haut ou d’un point bas :
Au niveau d’un point haut : la liquidité (= les ordres stop des traders qui short) s’accumule au-dessus des derniers points hauts.
Au niveau d’un point bas : la liquidité (= les ordres stop des traders qui long) s’accumule en dessous des derniers points bas.
Exemple d’un Swing Failure Pattern formé après un point haut :
Explications du graphique précédent :
Le prix forme un sommet (ou une résistance clé).
La bougie suivante tente de dépasser le sommet mais n’y parvient pas et finit par clôturer en dessous (= la liquidité des ordres stop des traders qui short a été capturée).
La confirmation du Swing Failure Pattern se fait après la clôture de la bougie qui indique que le balayage au-dessus du dernier point haut est terminé et qu’on peut entrer en short.
Exemple d’un Swing Failure Pattern formé après un point bas :
Explications du graphique précédent :
Le prix forme un point bas (ou une support clé).
La bougie suivante tente de casser le point bas mais n’y parvient pas et finit par clôturer au-dessus (= la liquidité des ordres stop des traders qui long a été capturée).
La confirmation du Swing Failure Pattern se fait après la clôture de la bougie qui indique que le balayage sous l’ancien point bas est terminé et qu’on peut entrer en long. Si cette zone est à nouveau testée, c’est le moment d’ajouter plus de cash à la même position.
Comment exécuter cette stratégie ?
Demandez-vous où un trader “particulier” placerait ses stops ou serait incité à prendre une position.
Vous devez comprendre comment les particuliers tradent pour prendre les positions inverses.
L’exécution du Swing Failure Pattern suit ces étapes :
L’entrée se fait à la clôture de la bougie qui balaie le dernier point haut/bas.
Le stop-loss se place sous le plus bas/au-dessus du plus haut de la mèche précédente (placez-le manuellement si votre scénario est invalidé mais pas avant sinon il apparaîtra dans les carnets d’ordres et tous les traders verront la liquidité s’accumuler à votre prix d’invalidation).
La target devra se placer au niveau du dernier point haut/bas clé.
Exemple d’exécution au niveau d’un point haut :
Afin d’améliorer votre taux de réussite avec le Swing Failure Pattern, il faut toujours ajouter de la confluence à son système de trading avec d’autres indicateurs qui renforcent la probabilité de succès.
Exemple de confluence avec le volume :
En guise de confluence, il peut être pertinent de regarder également du côté des divergences entre le prix et le RSI.
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